Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a rendu publi son avis n° 122 portant sur les enjeux du « recours aux techniques biomédicales en vue de “neuro-amélioration” chez la personne non malade ». Il s 'agit de l’emploi de médicaments (anxiolytiques, antidépresseurs, stimulants cognitifs…) ou de la stimulation cérébrale transcrânienne pour améliorer les performances cognitives de tout un chacun.

 

Cet avis s'inscrit dans la mission de veille éthique sur les progrès des neurosciences confiée au CCNE par la loi du 7 juillet 2011. Le groupe de travail chargé de cette veille éthique a constaté que le thème de ce que les Anglo-Saxons ont baptisé « brain enhancement », et qu'il a qualifié de « neuro-amélioration », prenait de l'ampleur.

 

Télécharger l'avis n° 122 du CCNE

 

Lire l'article du Monde du 12 février 2014 : La « neuro-amélioration » passée au crible du comité d’éthique